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Le 13/11/2014
Une sympathique foire à vélos qui ne demande qu'à s'aggrandir avec notre ami laurent parmi les exposants
http://www.echoduvelo.com/2e-Foire-aux-Velos-du-Cyclo-Club.html
Le 09/11/2014
Reprise du vélo de course ce matin, téléthon de Beuvry avec les copains d'Houchin, parcours plat, les 55km bouclés en 31km/h de moyenne,.J'ai réussi à rester dans le groupe jusque Lorgies puis revenu avant Festubert sur le groupe, content de ma reprise, j'ai tenu le choc,les jambes ont bien tourné,pas de douleur, je suis allé devant dans les premiers kilomètres et resté derrière à la fin, impossible pour moi de prendre un relais à 38km/h de moyenne et avec du vent de face de surcroit! En tout:58km d'effectués à vélo ce matin
Bon dimanche philippe
Le 05/11/2014
les dolomites ,le stelvio,le saint gothard ,21cols d'une traite jusque chamonix ,superbe!
Le 02/11/2014
sortie club ce matin . Nous avions rendez vous à 8h30 mais à 8h31 pas encore arrivéssur la place nous croisons le peloton qui vient de se metrre en route.Même pas le temps de voir le colonel ici avec son adjoint et surtout sa jupiler plus motivé par le ravito que par le vélo, qui pour sa reprise roule en solo. Le peloton est une nouvelle fois imposant;23 cyclos d'aprés jackie.Nous commencons à froid par la côte d 'hersin qui égrene le peloton.L esprit est cependant débonnaire ,nathale est encadrée par ses gardes chiourmes habituels michel et guillaume qui coache avec ardeur nathalie.Il lui faudra peut etre une rénumération
! le vent est imposant,je me fais prendre avant le ravito dans une cassure avec pierre et pierre yves Il faut dire que le vent et usant,,froid
.Le parcours est par contre trés varié
par des route peu connues bucoliques : varlus ,beaumetsz les loges où je ne suis plus au premières loges depuis longtemps et où le peloton , se sépare en2 à ce momernt;les cadors s'expliquent entre eux pendant que nou faisons un grupetto avec raoul ,raymond,;laurent pierre yves et Nat .Laurent crève une 1efois Il répare avec sa pompe spéciale on dirait un extincteur ,ça dégage de la neige carbonique voir photo
Tout ceci pour recrever 10km plus loin la bréche étant trop importante et réparer plus nornalement "à l'ancienne" .Le retour enfin vent dans le dos se fera par la çote de rebreuve
au total 95km bien éventés! bon dimanche jean michel
Le 28/10/2014
De la part de Richard Wery, le" gentleman" du club qui ,comme le bon vin se bonifie en veillissant. Il nous parle ici de la gentleman de barlin effectuée avec alain le coursier.Depuis Richard a encore fait mieux en tutoyant le podium en 4ème position à la gentleman de Hamel
Un souvenir de la Gentleman de Barlin 2011 que j’ai retrouvé sur le site du cyclo club de Barlin.
Avec comme tireur Pierre Tielemans (aujourdhui au V.C.Rouen) nous avions réalisé un temps réel de 28’31 et 7ème en temps compensé sur 22 équipes.
Cette année avec Alain Gibowski (toujours au C.C.Houchin) nous avons réalisé un temps réel de 26’46 et 8ème en temps compensé sur 61 équipes
Le 19/10/2014
Le temps était estival ce matin pour notre sortie club.Le peloton une nouvelle fois imposant prés d'une trentaine en comptant les sympathisants qui me semblent de plus en plus nombreux chaque dimanche.C'est freddy
notre "marathon man" qui se charge du parcours .Nous nous dirigeons vers frévent parL des petites routes et des petits villages (ternas,buneville,sibiville) qui fleurent bon la campagne.L'allure est tranquille
,ça sent la fin de saison. Arrivés à frevent avec le vent dans le dos le rytme s'accélere .Le peloton se fragmente sur les faux plats montants.Nathalie est lâchée en même temps que ses gardes du corps dévoués Michel et Guillaume.Notre petit groupe avec pierre yves ;jackie,richard (en tenue marseillaise
,joel, laurent,raoul ( en tenue houchin "vintage"),bernard (qui a trés bien suivi ce matin) les attend sans succés une dizaine de minutes.En fait j' apprendrai plus tard qu'ils s'étaient arretés pour problème mécanique et étaient repartis sans doute sur une autre route ,nathalie ayant l'impression d'avoir été une balle catapultée sur une vingtaine de km.(sa moyenne sera même supérieure à la mienne
!)
Nous reprenons la route et rentrons par aubigny .Pierre yves puis jackie et enfin joel imposent des relais vigoureux.Au total 91.5km à 27.3 de moyenne pour 750m de dénivelé.(28 de moyenne pour nathalie "la catapultée" bravo michel et guillaume)
bon dimanche jean michel
Le 16/10/2014
Alban, matthieu"l ex néophyte" et son copain benoit ont connu des conditions apocalyptiques lors de l'étape du tour cet été .Matthieu nous en fait ici le récit:
Vendredi 18 Juillet – Paris 15ème – 18h27 – J-2 avant l’Etape du Tour 2014
Je suis paresseusement allongé sur mon canapé lorsque je reçois le mail suivant :
« L'ETAPE DU TOUR 2014 : ALERTE METEO Attention, les conditions météorologiques du dimanche 20 juillet ne sont pas favorables : - vent - pluie - températures basses Nous vous recommandons fortement de vous équiper en conséquence : - vêtements chauds - vêtements de pluie - gants longs - vêtements de rechange à l'arrivée »
J’appelle sur le champ Benoit , qui prendra également le départ dimanche, pour commenter le mail de l’organisation. Je suis plutôt hilare : j’apprécie rouler sous la pluie… du Nord. Je prends donc à la légère le mail de l’organisation… J’avais tort.
Samedi 19 Juillet – Camp de Base de Lescar – 20h32 – J-1 avant l’Etape du Tour 2014
Préparation du matériel de demain : nous ne sommes pas plus avancés. Nous nous perdons en conjectures sur le temps. A partir de quel moment va-t-il pleuvoir ? Et dans quelle mesure ? Nous allons nous coucher sans réponse…
Dimanche 20 Juillet – Pau – l’Etape du Tour 2014
Nous parcourons les sept kilomètres qui séparent Lescar, notre camp de base, de Pau dans une relative fraîcheur matinale. Nous nous estimons heureux de ne pas effectuer le trajet de liaison sous la pluie. Nous apercevons quelques coins de ciel bleu depuis la place de Verdun, lieu de départ de cette 22ème édition. S’ensuivent de longues minutes d’attente avant le départ du SAS n°7 à scruter le ciel avec anxiété. Sur les 13 000 inscrits annoncés par l’organisation, nous ne sommes que 9 882 coureurs à s’être présentés au départ !
Vers 7h52, Benoit et moi franchissons la ligne de départ de cette étape Pau – Hautacam ! Le tracé commence une chicane en « S » négocié au ralenti pour prendre la rue Marca qui fait office de rampe de lancement ! Le début du parcours est scabreux : ronds-points, îlots directionnels, virages serrés. Tous les ennemis du cycliste sont réunis sur les premiers kilomètres… ça roule fort sur une petite route vallonnée et étroite. Mon compteur indique plus de 40 km/h alors que le programme de la journée est très copieux. Et, dès le 4ème kilomètre, je laisse Benoit prendre son envol dans la 1ère ascension, ou plutôt côte non répertoriée. Je préfère réduire mon allure aux alentours de 30-35 km/h en vue du Tourmalet et d’Hautacam. Pour ces premiers kilomètres, le temps se maintient !
Les traversées de villages sont toutes aussi piégeuses que plaisantes ! Nous empruntons des routes étroites qui serpentent dans les villages du Béarn. De nombreux spectateurs se sont levés tôt pour nous encourager. La première moitié du parcours apparaît plane au premier coup d’œil avec deux « côtelettes » de 3ème catégorie : la côte de Bénéjacq et la côte de Loucrup. Ceci est le premier coup d’œil. Après une analyse un peu plus détaillée, les « côtelettes » ne sont pas deux mais au nombre de cinq… La côte de Bénéjacq émarge à 6,7% de moyenne sur 2,6 kilomètres, la côte de Loucrup à 7% de moyenne sur 2 kilomètres : des mensurations respectables. Ainsi, les 70 premiers kilomètres du parcours se révèlent être une copieuse entrée, avant l’entrée dans la localité de Bagnères de Bigorre. Le plat principal n’est plus à présenter : le col du Tourmalet. Et les organisateurs nous ont offert une gourmandise acidulée en fin de parcours avec l’ascension d’Hautacam…
Ainsi, l’enjeu sur ce début de parcours est d’arriver le plus vite et le plus frais possible au pied du Tourmalet. Je m’y emploie en accrochant à toutes les roues qui passent et me dépassent. Je ne prends aucun relais. Je joue parfaitement mon rôle de passager clandestin. Dans les traversées de village, je prends quelque peu mes distances pour mieux anticiper les obstacles et d’éventuelles traversées de spectateurs. La traversée de Bagnères-de-Bigorre signifie la fin de la balade de santé… et comme un symbole, une pluie fine commence à rafraîchir les coureurs de l’Etape du Tour. La route également n’est plus la même, elle s’élève perceptiblement par de vilains faux-plats qui longent le lit de l’Adour. Nous ne sommes pas encore dans l’ascension officielle du col du Tourmalet qui débute dans la localité de Ste Marie de Campan… A mesure que je remonte la vallée de l’Adour, le crachin rafraîchissant se transforme en douche pyrénéenne. Je m’arrête quelques instants pour enfiler mon petit coupe-vent sans manches, un pansement sur une jambe de bois…
Arrivé dans le village de Campan, je suis trempé et plus encore. Déjà, je croise quelques cyclo-sportifs dans le sens inverse, et qui ont visiblement pris la décision la plus raisonnable. J’ai une furieuse envie de jeter mon vélo sur le bord de la route. Et le Tourmalet n’est même pas entamé… Dans le village de Ste Marie-de-Campan, j’ai parcouru 78 kilomètres depuis le départ de Pau en 3h30 et quelques secondes, soit une moyenne de 21,97 km/h. La banderole annonce 16,9 km d’ascension. Je laisse sur la gauche la route pour le col d’Aspin et je « fonce » tête baissée vers l’ascension la plus dantesque de ma jeune carrière de cyclo-sportif.
Les quatre premiers kilomètres de l’ascension officielle sont de la même veine que les dix kilomètres entre Bagnères-de-Bigorre et Ste Marie-de-Campan : des pourcentages moyens qui oscillent entre 3% et 5%. Puis survient la fin de la vallée… J’emprunte avec mes compagnons de galère une épingle vers la droite et, tout de suite, la différence de dénivelé se fait sentir. Il suffit alors de se caler sur le plus petit braquet possible et tourner les jambes. Dans ces kilomètres raides, trempé jusqu’aux os, avec une pluie qui ne faiblit pas, mon esprit divague et je n’ai, aujourd’hui à l’écriture de ce compte-rendu, aucun souvenir précis. A peine, je me souviens d’avoir discuté avec un coureur d’outre-quiévrain d’une frite-fricadelle arrosée de mayonnaise et de Jupiler
. Dans l’ascension du Tourmalet, avant la Mongie, les paravalanches sont des havres de paix, quelques hectomètres parcourus à l’abri de la pluie…
A la Mongie, un ravitaillement est annoncé à 100 mètres. Je ne peux l’apercevoir dans le brouillard et ce n’est qu’à une quarantaine de mètres, qu’il apparaît. Je me ravitaille rapidement sous une pluie battante, dans un brouillard qui donne un caractère irréel à la scène. J’enfourche de nouveau mon vélo pour vaincre les quatre derniers kilomètres. Je traverse hagard le village-fantôme de la Mongie. La suite de l’ascension s’avère plus agréable… avec des pourcentages moyens autour de 8%. Sur les hauteurs de la Mongie, je reste suffisamment lucide pour éviter de peu une vache qui traverse dans le brouillard. Sur le côté de la route, les camping-cars sont toujours plus nombreux : à l’heure du déjeuner, des bâches sont tendues au-dessus des barbecues et je suis mis au supplice par les odeurs de viande. Soudain, dans les 500 derniers mètres, des enceintes sont positionnées tous les 10 mètres et vocifèrent des commentaires marquants des derniers tours de France. Je relance en danseuse, portés par les commentaires, et j’en termine avec le col du Tourmalet et ses 2 115 mètres d’altitude. Je mets un terme à 2h05 de souffrance.
Malgré d’intenses efforts pour gravir ce col du Tourmalet, il m’est impossible d’en profiter. La température y est polaire et la pluie continue d’arroser cette Etape du Tour décidément apocalyptique. J’entame avec la plus grande prudence la descente du col. Les premiers kilomètres sont très sinueux avec un ravin sur la droite qui invite à redoubler de prudence. Je ne dépasse pas les 25 km/h… Parfois, je traverse des petites rigoles d’eau qui ne demandent qu’à m’envoyer au tapis. Je suis littéralement frigorifié sur mon vélo, je ne sens plus mes doigts (si seulement j’avais des gants longs recouvrant les doigts…). A Barèges, je me rends compte de ce que je viens de traverser : une salle des fêtes fait office de ravitaillement et les rescapés s’y sont entassés. Si l’année dernière, j’avais été impressionné le nombre de coureurs étalés sur le bord de la route accablés par la chaleur, je suis stupéfait par le nombre de coureurs enroulés dans des couvertures de survie transis de froid. Certain(e)s sont en pleurs… Je suis secoué de frissons et mes doigts sont en difficulté pour se saisir le café que l’on me tend. J’ignore à ce moment si je suis capable d’enchaîner avec l’ascension d’Hautacam. Des idées d’abandon au pied d’Hautacam me taraudent. De toute manière, je ne peux m’arrêter à Barèges et encore moins faire demi-tour. Avec le moral au niveau des cale-pieds, je repars sur mon vélo pour en terminer avec cette éprouvante descente.
La localité de Luz-Saint-Sauveur marque un tournant ! Au sens propre, le parcours prend un virage sur la droite pour rejoindre la vallée du Gave de Pau et nous acheminer vers le pied d’Hautacam. Au sens figuré, je reprends le fil de ma course : la vallée est balayée par un vent chaud propice à la récupération. La chaussée est à peine humide et cela me permet de remettre en route la machine : entre 45 et 50 km/h, sur une route en faux-plat descendant, je me mets en tête de reprendre les 20 minutes perdues à Barèges. Illusoire mais bon pour le moral. Au pied d’Hautacam, il n’est plus question d’arrêter prématurément. J’ai retiré le coupe-vent, et porté par les spectateurs massés au pied de l’ascension, je suis gonflé à bloc pour la dernière ascension !
Hautacam la schizophrène… L’ascension alterne les pentes douces et les sérieux raidards pour une pente moyenne à 7,8% qui ne signifie rien… L’escalier s’étend sur quelques 13,6 kilomètres. Galvanisé, j’entrouvre le maillot bariolé de l’Ardéchoise et je mets à la planche. Rapidement, la pluie reprend mais elle ne peut plus me distraire de l’objectif final. Certains passages de l’ascension me mettent au supplice avec mon 39x28 d’un autre temps. Mais ces passages douloureux sont suivis de replats, véritables bouffées d’oxygène ! Consciencieusement, je gravis les derniers kilomètres d’Hautacam. Je profite de la pluie, de l’air frais, des encouragements des rares spectateurs qui se sont perdus sur ce cul-de-sac d’Hautacam. A la vue de la flamme rouge, je me remets en danseuse et j’en termine en 8 heures 53 minutes et 57 secondes, soit une moyenne de 16,63 km/h et une place de 6 707ème sur 8 458 courageux. A l’arrivée, le vide… d’Hautacam me déçoit. Ai-je donc réalisé presque neuf heures d’efforts sous des conditions météorologiques dantesques pour atteindre ce théâtre vide ? Qu’importe le but, seul le chemin compte
Le 12/10/2014
Direction Ecquedecques ce matin pour un des derniers brevets de l'année .Le club est encore présent en nombre,plus d'une vingtaine à vue de nez .L'échauffement est assez bref ,aprés 2km c'est déja la première d'une longue série de côtes à hurionville .Direction ensuite ames puis Nédonchel pour la 2ème difficulté du jour la côte de Febvin palfart qure j'appréhende un peu ayant été laché plus d'une fois dans cette montée assez longue.Mes craintes sont fondées je suis une nouvelle fois lâché en même temps que pierre,laurent dominique et jeremy. Heureusement le groupe élite ,magnanime sur ce coup ci nous attend en tournant autour du rond point en haut de la côte.Direction ensuite je ne sais plus trop quel village étant donné la brume tenace sur de petite routes caillouteuses ce qui améne bien sur une crevaison pour Didirer "big moustache" que l'on voit ici réparer avec l'aide de Greg.
Nouvelle difficulté ensuite la côte d'enquin les mines.On prend les mêmes et on recommence je me fais lacher avec pierre,laurent et dominique.Nous formons un grupetto homogène pour une vingtaine de km.Nous doublons à nouveau le groupe élite avec greg,jackie,guillaume ,richard et compagnie à thérouanne,"big moustache "étant victime d'une 2ème crevaison! A thérouanne au lieu de faire demi tour nous continuons à nous éloigner vers Helfaut sur des routes et des côtes inconnues pour moi sur ce parcours trés casse pattes. Déjà 40km de parcourus et toujours pas de ravito.Je sens la fringale arriver Heureusement juste aprés Helfaut ,au petit village de Bilques, aprés plus de 45km voici enfin le ravitaillement.Je me jette avec voracité sur le pain d'epice .Pierre et laurent ,moins gourmands sont déja repartis.Je reprend la route avec Dominique qui,trés sympa me tractera
jusque l'arrivée. Je prendrai seulement 2ou 3 relais misérables dans des faux plats descendants. Nous arriverons à la salle juste avant l'élite ,Didier ayant crevé pour la 3 ème fois!
Au total 70km pour le brevet au lieu des 60 annoncés; prés de 100km en tout avec une moyenne "moyenne " de 26.5km/h mais avec un dénivellé impressionant de plus de 1000m ,peur être le record de l'année pour un brevet.
Bon dimanche jean michel